Misumena vatia (Clerck, 1757) – La Thomise variable
Au début du mois de juin, je vous ai parlé des Thomises en vous présentant Ebrechtella tricuspidata. Avec Misumena vatia sa cousine, je pourrais reprendre mes propos, la différence n’étant pas si grande entre les deux. La Thomise variable chasse généralement sur la corolleensemble des pétales d'une fleur. des fleurs, de préférence blanche ou jaune...
Carlina vulgaris (Linné, 1753) – La Carline commune
Sur les communes ligériennesqui appartiennent à la Loire, relatives à la Loire., au sud de la forêt d’Orléans et sur le massif de Lorris, vit une plante dont l’aspect est celui d’un chardon séché. Un de ses noms vernaculairesnom commun, nom employé localement. est d’ailleurs le chardon doré. Cette fleur, dont la hauteur avoisine au plus...
Stachys palustris (Linné, 1753) – L’Epiaire des marais
Après ses deux cousins, l’Epiaire des bois et l’Epiaire officinal, changeons de décor pour voir l’Epiaire des marais : Stachys palustris. Abondant dans le Val de Loire, il est présent en forêt d’Orléans dans les fossés en queue d’étang et sur les berges humides annuellement. Moins courant que les deux autres par son biotopeaire géographique de...
Stachys officinalis ((L.) Trevisan, 1842) – Epiaire officinal
Après l’Epiaire des bois, Stachys sylvatica, il faut parler de l’Epiaire officinal, Stachys officinalis car c’est le plus courant en forêt d’Orléans. Il se rencontre dans tous les massifs car son exigence vis-à-vis du sol est faible. L’Epiaire officinal est une plante vivace et résistante aux maladies pour mieux offrir ses épis floraux aux promeneurs. Sur...
Stachys sylvatica (Linné, 1753) – L’Epiaire des bois
Un peu plus de deux semaines sans rendre visite à mon blog, pourtant, malgré la sécheresse les observations en forêt d’Orléans ne manquent pas. Les champignons ont totalement disparu, mais les fleurs résistent et les papillons ne se plaignent pas du temps chaud. Alors nous allons regarder du côté des Epiaires, famille des Lamiaceae, genre...