Araschnia levana (Linné, 1758) – La Carte géographique
La Carte géographique est un petit papillon de la forêt d’Orléans, une vraie énigme à lui tout seul. Le grand Linné lui-même en avait fait deux espèces, c’est pour dire. Le dimorphismeensemble des différences entre les individus d'une même espèce. saisonnier de la carte géographique est surprenant, et qui ne sait pas, se trompe. Forme...
Pectinatella magnifica, Leydi 1851 – Bryozoaire magnifique
La biodiversité de la forêt d’Orléans inclut forcément les espèces dites invasives ou envahissantes. Elles le sont souvent les premières années de leur présence, puis se régulent et font partie du patrimoine. Selon les avis et les études, ces plantes, ces champignons, ces insectes, etc… sont à détruire ou à tolérer. Bien souvent, c’est l’enjeu...
Cortinarius cinnamomeoluteus, P.D. Orton, 1960 – Le Cortinaire jaune cannelle
Il n’y a pas si longtemps, les allées forestières du massif de Lorris en forêt d’Orléans étaient réparées avec le sable rouge et les cailloux du dit massif. Pour s’éviter du transport, les forestiers ouvraient ici et là des petites carrières afin d’avoir les granulats nécessaires à l’entretien des chemins. Aujourd’hui, les réparations sont effectuées...
Cortinarius semisanguineus (Fries 1821 : Fries) Gillet 1874 – Le Cortinaire semi-sanguin
Avec l’arrivée de l’automne en forêt d’Orléans, la symphonie des couleurs chatoyantes commence. Les quelques châtaigniers, Castanea sativa, livrent leurs fruits aux sangliers et aux petits mammifères de tout poil et se parent de jaune. Les chênes d’Amérique, Quercus rubra, nouveaux arrivants de la forêt, enflamment la canopéeétage sommital de la forêt. orléanaise d’une multitude de rouges,...
Mycena seynii (Quélet, 1877) – La Mycène de De Seynes
En forêt d’Orléans, les pins maritimes, Pinus pinaster, ne sont pas spontanés. Seuls les massifs acides ont vu des plantations de ces pins, sur de petites parcelles. En bordure de la forêt, sur le Val de Loire, sa présence est plus soutenue. C’est sous ces majestueux conifères qu’il faut chercher la Mycène de De Seynes, Mycena...
Marasmius oreades (Bolton 1792) Fr. (1836) – Le Marasme des Oréades
Lorsque la pluie vernale ou automnale arrose les prairies et les allées de la forêt d’Orléans plusieurs jours de suite, et que l’humidité douce persiste, il s’y passe un curieux phénomène. Sortie des placards ou des vestibules, une multitude d’imperméables se promène, çà et là, debout ou à genoux, la tête tournée vers le sol....
Araneus marmoreus (Clerck,1757) – L’Epeire marbrée
Voici une superbe araignée de la famille des Epeires, l’Epeire marbrée, dont les variations de couleurs sont tellement nombreuses qu’il faut bien regarder avant de la nommer correctement. Araneus marmoreus et ses différentes robes (habitusaspect extérieur du corps ou d'une partie du corps.) peut se confondre avec ses cousines Araneus alsine, Araneus angulatus, Araneus quadratus....
Misumena vatia (Clerck, 1757) – La Thomise variable
Au début du mois de juin, je vous ai parlé des Thomises en vous présentant Ebrechtella tricuspidata. Avec Misumena vatia sa cousine, je pourrais reprendre mes propos, la différence n’étant pas si grande entre les deux. La Thomise variable chasse généralement sur la corolleensemble des pétales d'une fleur. des fleurs, de préférence blanche ou jaune...
Carlina vulgaris (Linné, 1753) – La Carline commune
Sur les communes ligériennesqui appartiennent à la Loire, relatives à la Loire., au sud de la forêt d’Orléans et sur le massif de Lorris, vit une plante dont l’aspect est celui d’un chardon séché. Un de ses noms vernaculairesnom commun, nom employé localement. est d’ailleurs le chardon doré. Cette fleur, dont la hauteur avoisine au plus...
Stachys palustris (Linné, 1753) – L’Epiaire des marais
Après ses deux cousins, l’Epiaire des bois et l’Epiaire officinal, changeons de décor pour voir l’Epiaire des marais : Stachys palustris. Abondant dans le Val de Loire, il est présent en forêt d’Orléans dans les fossés en queue d’étang et sur les berges humides annuellement. Moins courant que les deux autres par son biotopeaire géographique de...
Stachys officinalis ((L.) Trevisan, 1842) – Epiaire officinal
Après l’Epiaire des bois, Stachys sylvatica, il faut parler de l’Epiaire officinal, Stachys officinalis car c’est le plus courant en forêt d’Orléans. Il se rencontre dans tous les massifs car son exigence vis-à-vis du sol est faible. L’Epiaire officinal est une plante vivace et résistante aux maladies pour mieux offrir ses épis floraux aux promeneurs. Sur...
Stachys sylvatica (Linné, 1753) – L’Epiaire des bois
Un peu plus de deux semaines sans rendre visite à mon blog, pourtant, malgré la sécheresse les observations en forêt d’Orléans ne manquent pas. Les champignons ont totalement disparu, mais les fleurs résistent et les papillons ne se plaignent pas du temps chaud. Alors nous allons regarder du côté des Epiaires, famille des Lamiaceae, genre...